Si nous nous trouvons encore en exil actuellement, c'est que la faute qui a entraîné la destruction du Beth Hamidash (à savoir la sinat 'hinam, la haine gratuite) n'a pas encore été réparée. Dans les Hilkhot Dé'ot rapportées dans son Séfer Yad Ha'hazaka, le Rambam montre l'importance de la mitsva de véahavta léré'akha kamokha (tu aimeras ton prochain comme toi-même) ; et il la résume en deux points. Lesquels ? En quoi cela nous permet-il de savoir si nous aimons véritablement autrui ? Que disent la Guemara et le Gaon de Vilna à propos des mots Di Zahav mentionnés au début de la paracha de Devarim (paracha qui est toujours lue lors du Chabbat qui précède Tich'a Béav) ? En quoi ces commentaires nous permettent-ils de déceler la racine de la haine ?    

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