Celui qui vole à son prochain l’équivalent d’une Pérouta, puis qui lui jure [ne jamais l’avoir volé, dans la mesure où il regretterait sa faute et voudrais la réparer], il lui faudra le suivre (même) jusqu’en Médie, [afin de le rembourser].
Il ne pourra lui rendre [ce qu’il a lui doit] ni en le remettant à son fils ni à quelqu’un qui le représenterait, il pourra toutefois le remettre un représentant du tribunal.
S’il est mort (avant d’avoir été remboursé), il (le voleur) doit rendre [l’objet volé] (ou sa contrepartie) à ses héritiers.