Jusqu’à quand est-il permis de récupérer [la valeur de l’abus excessif (non perçu) de la pièce ‘manquante’] ?
Dans les villes, jusqu’à ce qu’on ait le temps de la montrer à un changeur de monnaie. Dans les villages, jusqu’au vendredi.
Si [celui qui l’a utilisée] la reconnait, il pourra l’accepter de [celui qui s’est fait abuser], même après 12 mois. S’il ne l’accepte pas, [celui qui s’est fait abuser] ne pourra avoir, à son égard, que du mécontentement (et pas plus que cela).
[Par ailleurs], on peut la sanctifier au titre de la « seconde Dîme » (Ma’asser Chéni) sans crainte, car [celui qui ne l’acceptera pas (même pour sa véritable valeur)] n’est qu’un mesquin.