Si quelqu’un prend à son prochain un champ à ferme, et il irrigue, ou il est planté d’arbres, si la source se dessèche ou si les arbres sont abattus, il ne peut pas lui retrancher [quelque chose] du fermage. Mais s’il lui a dit : « donne-moi à ferme ce champ irrigué ou ce champ planté d’arbres », si la source se dessèche ou si les arbres sont abattus, il est en droit de lui retrancher [quelque chose] du fermage.