Sa poignée (celle du fouet) [devant avoir] une largeur de main [de longueur], et sa largeur [devait être] d’une largeur de main, et son extrémité devait atteindre le début de son ventre.
Il le frappe un tiers [des coups] par devant, et deux tiers [des coups] sur le dos. Et il ne le frappe ni [lorsqu’il est] debout ni [lorsqu’il est] assis, mais [lorsqu’il est] incliné, (c’est-à-dire que le condamné doit être penché au-dessus du poteau auquel ses mains sont liées, comme il est dit (Dévarim 25,2) : « et le juge le fera tomber », (c’est-à-dire le forcera à s’incliner vers l’avant).
Et celui qui administre les coups frappe [le condamné] d’une seule main, de toute sa force.