טרף בקלפי, והעלה שני גורלות אחד כתוב עליו לה', ואחד כתוב עליו לעזאזל. אם של שם עלה בימינו הסגן אומר לו, אישי כוהן גדול, הגבה ימינך; ואם בשמאלו עלה, ראש בית אב אומר לו, אישי כוהן גדול, הגבה שמאלך. נתנם על שני השעירים ואומר, לה' חטאת; רבי ישמעאל אומר, לא היה צריך לומר חטאת, אלא לה'. והם עונין אחריו, ברוך שם כבוד מלכותו לעולם ועד.
Il (le Cohen Gadol) secouait l’urne et en retirait les deux sorts. L’un portait : « Pour D’ieu » et l’autre « Pour ‘Azazel ». L’adjoint se tenait à sa droite et le chef de la section familiale à sa gauche. S’il avait retiré de la main droite le sort qui portait « Pour D’ieu » l’adjoint lui disait : « Mon maître, Cohen Gadol, lève la main droite ». S’il avait retiré de la main gauche le sort qui portait « Pour D’ieu », le chef de la section familiale lui disait : « Mon maître, Cohen Gadol, lève la main gauche ». Puis il les posait sur les deux boucs et s’écriait : « Pour D’ieu, sacrifice expiatoire » mais uniquement : « Pour D’ieu » ; et le peuple lui répondait : « Loué soit à jamais le Nom de Son règne glorieux ».