Il faut nettoyer minutieusement toutes les pièces de la maison afin que ne se pose aucun doute de la présence de ‘Hamets. Il en est de même pour les poches des vêtements, les cartables, les armoires de la cuisine, le réfrigérateur, la voiture et tout endroit où du ‘Hamets aurait pu résider dans l'année.

Notre Maître le « Ari zal’ » a promis : « Toute personne qui prendra garde à éliminer même la quantité la plus infime de ‘Hamets pendant Pessah est assurée qu'elle ne péchera pas toute l'année ».
 

Dans la sérénité et dans la joie

Bien que les femmes se donnent beaucoup de peine pour la période de Pessah, il faut tout de même savoir que la Mitsva de vérification du ‘Hamets porte sur celui-ci au sens propre et non sur la poussière.

En effet, très souvent la femme se fatigue plus que ne le réclame la loi et, de ce fait, elle en arrive à la colère (que D.ieu nous garde), à la fâcherie, ou encore au manque de patience envers son époux et ses enfants, et c’est une des grandes armes du "Yetser Hara" (le mauvais penchant, qui cherche à nous faire dévier du bon chemin et de la bonne conscience).

Cette arme lui sert à détruire la paix des foyers, le calme et la joie de la maison. Au final, elle perd davantage qu’elle ne gagne de son dur travail. La maîtresse de maison s'efforcera ainsi de diriger son activité avec sérénité, calme, plénitude et joie comme le souhaite notre Créateur, de telle façon que tout parvienne à sa fin de la meilleure manière possible.

Le respect de la femme

Il convient que chaque mari soit attentionné, qu'il encourage et aide sa femme dans ses travaux de nettoyage de la maison.
 

Les livres

Il n'est pas nécessaire de vérifier que des miettes de ‘Hamets se trouvent dans les livres. Et même si parfois, on étudie avec un gâteau en main, il sera permis d'étudier tout de même dans ces livres à Pessah.

Par contre, les livrets de bénédictions utilisés après le repas (Birkat Hamazon), sur lesquels il est fréquent de trouver des déchets de nourriture collés, ne pourront être utilisés qu'après un nettoyage minutieux.
 

A quel moment ?

A la sortie des étoiles de la nuit du 14 Nissan, on vérifie l'absence de ‘Hamets à la lumière d'une bougie.

Si on n'a pas encore prié Arvit et que le moment de la sortie des étoiles est arrivé, on commencera par prier Arvit puis on se mettra à vérifier le ‘Hamets.

En effet, il faut commencer par s’acquitter en premier de la Mitsva la plus fréquente avant celle qui l'est moins.

Si on a déjà prié avant la sortie des étoiles, on dira le "Chéma" et, tout de suite après, on vérifiera le ‘Hamets, étant donné que la Mitsva de dire le "Chéma" est une Mitsva quotidienne et imposée par la Torah, alors que celle de la vérification du ‘Hamets est unique dans l'année.
 

Une veille de Pessah qui tombe Chabbath

Etant donné qu'il est impossible le Chabbath de vérifier le ‘Hamets avec une bougie, on devancera la vérification à la veille du vendredi, c'est-à-dire à la sortie des étoiles de la nuit du 13 Nissan.
 

Manger avant la vérification

Il est interdit de manger plus de 50 grammes (poids d'un œuf sans coquille) de pain ou de gâteau, une demi-heure avant le temps de la vérification du ‘Hamets.

Par contre, il sera permis de consommer, même en grande quantité, des légumes, des fruits, un plat de riz ou quelque chose de semblable, ainsi que de boire un café ou un thé.
 

Travail avant la vérification du ‘Hamets

Il est interdit de commencer à faire un travail une demi-heure avant la vérification du ‘Hamets, de crainte de s'attarder dans le travail et d'en oublier la Bdika.

Si l'on a enfreint cette interdiction et que l'on a commencé un travail ou mangé, il faut s'interrompre et se mettre à vérifier le ‘Hamets.

De même, si l'on a commencé un travail ou que l'on a mangé de manière permise, c'est-à-dire avant le temps imparti, il sera bien dans ce cas également de s'interrompre pour vérifier dans les temps ledit ‘Hamets.
 

Sommeil avant le contrôle du ‘Hamets

Il est interdit de dormir moins d'une demi-heure avant la vérification du ‘Hamets, de crainte d'être pris par le sommeil et d’en oublier de vérifier le ‘Hamets.
 

Gardien

Celui qui voudrait manger une quantité de pain ou de gâteau plus grande que la quantité permise pendant la demi-heure qui précède l'heure de la vérification du ‘Hamets peut nommer une autre personne qui lui rappellera de vérifier l'absence de ‘Hamets au moment venu.

La loi est la même en ce qui concerne le commencement d’un travail. De même, il pourra se reposer un peu sur son lit s'il y a quelqu'un qui le réveillera au moment venu.
 

Etude de la Torah avant le contrôle du ‘Hamets

Il ne faut pas commencer à étudier si le temps de la vérification est arrivé.

Mais avant ce moment et même pendant la demi-heure précédente, nos Maîtres n'ont pas exigé l'interruption de l'étude de la Torah comme ils ont pu l’exiger pour le fait de se restaurer, de se coucher ou de travailler, en raison de l'importance extrême de l'étude de la Torah et de la gravité de la négligence de son étude.

Par conséquent, si on a commencé à étudier avant le moment de la vérification, il n'est pas nécessaire d'interrompre son étude, même si le temps de la vérification est arrivé.

Dans les synagogues dans lesquelles on étudie la Torah après la prière d'Arvit, il est bon de repousser l'étude à une heure plus tardive de telle manière que les fidèles puissent arriver à remplir le commandement de la vérification du ‘Hamets chez eux la nuit venue et revenir par la suite à leur étude habituelle.

Mais si celui qui dirige le cours sait que les participants, en rentrant chez eux, ne reviendront pas ou que ceux qui reviendront seront moins nombreux que chaque jour, il ne privera pas la masse du public de l'étude, que D.ieu nous en préserve. Il donnera son cours à l'heure habituelle et, après cela, le public rentrera chez lui et accomplira la recherche du ‘Hamets avec joie et allégresse.

Il est bon de rappeler au public après le cours, l'obligation de rechercher le ‘Hamets.

Ce qui a été dit est valable pour une étude comme celle de la page quotidienne de Guémara ou un cours de Halakha (lois) sans commentaires ni approfondissements. Mais, dans le cas d'une étude approfondie donnée devant un grand public, le cours sera reporté après la recherche du ‘Hamets, de peur que cette Mitsva ne soit oubliée.
 

Le reste des gens de la maison

Tous les interdits évoqués, à savoir repas, sommeil, travail, étude, ne se rapportent qu'au maître de maison qui vérifie lui-même. Pour le reste de ses proches, tout cela est permis.
 

Les dix morceaux de pain

La coutume dans le Peuple saint d'Israël est de préparer dix petits morceaux de pain, bien enveloppés de papier, et de les éparpiller aux quatre coins de la maison.

Par la suite, le vérificateur passe dans tous les coins de la maison et les découvre. Il convient que d'autres personnes que lui éparpillent ces morceaux de pain. Il est bon d'inscrire les endroits où les morceaux de pain ont été déposés de crainte d'oublier quels sont ces endroits.

S'il cherche et ne trouve pas, il pourra compter sur la procédure d’annulation verbale que l'on formule le 14 Nissan.

Certaines personnes ont pour coutume que le vérificateur prenne avec lui un couteau pour fouiller le ‘Hamets susceptible de se trouver dans les trous et dans les fentes. Un autre usage est que vérificateur prenne avec lui une coupe dans laquelle se trouve une tranche de pain et, lorsqu’arrive l'heure de détruire le ‘Hamets le lendemain, il brûlera le ‘Hamets de la coupe.

Le Ben Ich Haï nous dit qu'il est bon de mettre dans la coupe un peu de sel en signe de bon augure.
 

Bougie

On vérifie à l’aide de la lumière d'une bougie et non d'une torche et si l'on n'a pas de bougie, on utilisera alors une lampe électrique.
 

Lumière dans la maison

On n'éteindra pas la lumière, au contraire, il vaut mieux vérifier avec une bougie pendant que l'éclairage électrique fonctionne et éclaire davantage.

L'utilisation de la bougie est nécessaire pour les fentes et les trous.
 

La bénédiction

Avant la recherche du ‘Hamets, on dira la bénédiction suivante :

« Baroukh Ata Ado-nay Élohénou Mélèkh ha’Olam Achère Kidéchanou béMitsvotav Vétsivanou Al Bi’our ‘Hamets »
 

Parler

Entre la bénédiction et la vérification du ‘Hamets, il est interdit de parler, même au sujet de la vérification, par exemple, dire que la bougie s'est éteinte et demander qu'on apporte de quoi la rallumer.

Si l'on a tout de même parlé, on ne redira pas la bénédiction.

Mais si l'on a parlé d'un autre sujet, il faudra alors redire la bénédiction.

Tout au long de la vérification, on doit prendre garde de ne pas parler de choses sans rapport avec la vérification, mais si on a tout de même parlé, on ne redira pas la bénédiction.

Si une personne doit réciter la bénédiction habituelle après avoir fait ses besoins naturels pendant la vérification, elle pourra la dire de crainte de l'oublier par la suite.
 

La bénédiction "Chéhé’hiyanou"

On ne dit pas cette bénédiction pour la recherche du ‘Hamets, mais par zèle. Il est bon de prendre un nouvel habit ou un nouveau fruit et de dire "Chéhé’hiyanou " après avoir déjà entamé la vérification, en pensant s'acquitter de cette bénédiction pour la vérification aussi.

Après avoir fait Chéhé’hiyanou, on récitera la bénédiction adaptée au fruit et on le consommera.
 

Une armoire dans laquelle on a déposé du ‘Hamets dans l'intention de tout vendre au non-juif

Elle sera bien fermée de façon à ce que nul ne se trompe et n'utilise le ‘Hamets à Pessah. Dans ce cas, il n'y a pas lieu de contrôler ce ‘Hamets la nuit du 14 Nissan.
 

Les endroits qui exigent la vérification du ‘Hamets

Il faut vérifier chaque coin et recoin de la maison, le réfrigérateur, les armoires de cuisine, les balcons, les escaliers, le jardin et tout endroit dans lequel on fait entrer du ‘Hamets.

On cherchera dans toutes les pièces de la maison, même s'il est clair que l'on n'y a jamais mangé de ‘Hamets. Et lorsqu’ il y a des petits enfants à la maison, on vérifiera sous les armoires et les lits, car il est fort possible qu’ils y aient introduit du ‘Hamets et, même si la chose est difficile, on ne bâclera pas la Mitsva de la recherche du ‘Hamets.

Nos Sages ont enseigné que la grandeur de la récompense sera à la mesure du dérangement et de la peine que l'on se donne pour l'accomplissement des Mitsvot.
 
On raconte à propos du Gaon le ‘Hatam Sofer, qu’il s'attardait avec une réelle minutie dans la vérification du ‘Hamets de toute sa maison : sur les sous-pentes, dans chaque caisse, dans la cour, le jardin et dans tout endroit possible et inimaginable où du ‘Hamets aurait pu entrer à n'importe quelle occasion. Il vérifiait lui-même alors qu’il pouvait se fier à ses enfants, garçons et filles, tous jeunes gens de haute valeur. De même, il mettait son honneur de côté en allant vérifier lui-même l'absence de ‘Hamets dans le poulailler.
 
 

L'automobile

Même si l'on n'a pas l'intention d'utiliser sa voiture pendant Pessah, il faut tout de même la vérifier et s'assurer qu'il n'y ait pas de ‘Hamets avec beaucoup de précaution, à l'aide d'une bougie ou avec une lampe électrique, une fois la vérification à la maison accomplie.

En effet, il existe la crainte qu’on soit amené à utiliser sa voiture pendant Pessah, même si on pensait ne pas la prendre.

Et même si on a vendu le ‘Hamets à un non-juif, on a encore le devoir de vérifier que du "‘Hamets béayne" (visible) ne soit pas resté dans la voiture, de la même manière qu'à la maison.
 

Etablissements publics

Il faut vérifier tous les véhicules qui sont sous sa responsabilité (comme les transports d'élèves) à la lumière d'une bougie ou d'une lampe électrique, la nuit du 14 Nissan.

Même si ces véhicules ne sont pas utilisés pendant Pessah et si la vérification est difficile pour les directeurs des établissements publics, ils doivent nommer des représentants pour le faire à leur place.

De même, il faut vérifier tous les espaces et les pièces de ces établissements à la lumière de bougie. Cependant, si cette vérification est trop difficile, il est possible de fermer complètement les lieux et de ne pas les ouvrir du tout à Pessah.

Les clés seront alors confiées à une autre personne et de ce fait, les responsables seront dispensés de vérifier l’établissement, en s'appuyant sur l’acte de vente du ‘Hamets qu'ils auront effectué au préalable. Par contre, si on utilise l'endroit à Pessah, il est certain qu'il faut le vérifier.
 

Magasin

Celui qui a un magasin doit y vérifier l'absence de ‘Hamets.

La bénédiction dite pour la vérification de la maison dispense de la réciter à nouveau pour la voiture ou le magasin.

On doit se garder de parler jusqu'à la fin de la vérification de tous les endroits passibles de vérification, mais si le magasin est éloigné, on ne dira la bénédiction que pour la maison, et dans ce cas, on pourra prononcer à nouveau la bénédiction pour le magasin.
 

Grande maison

S'il est difficile à une seule personne de vérifier toute la maison, elle pourra au moment de dire la bénédiction s'adjoindre un fils ou un ami, chacun sa bougie en main, pour la vérification. C'est le maître de maison qui dira la bénédiction et les exemptera. Il vérifiera une petite partie et le reste sera verifié par les autres.

Dans le cas où ils n'ont pas écouté la bénédiction, il est a priori préférable qu'ils ne vérifient pas pour lui, et le Baal habayit s’acquittera seul de la Bdika. Cependant, s’il est difficile à celui qui a commencé la vérification de la poursuivre, il pourra demander à une tierce personne de l’aider, même si cette dernière n’a pas écouté la Brakha, car la bénédiction porte sur la Mitsva de la Bdika elle-même et non sur les personnes y participant. Dans ce cas, les remplaçants n’auront pas besoin de refaire  la bénédiction pour eux-mêmes.
 

Mandataire

Un propriétaire qui ne peut pas du tout remplir la Mitsva de vérification nommera un représentant qui vérifiera le ‘Hamets à sa place. Dans ce cas, c'est le représentant qui dira la bénédiction puisque c'est lui qui accomplit la Mitsva.
 

Synagogues et maisons d'études

Bien que l'on nettoie ces lieux avant la nuit du 14 Nissan, il faut les vérifier à la lumière d'une bougie. La Mitsva incombe aux préposés, à nos Gabayim dévoués, étant donné que les enfants qui viennent prier avec leur père introduisent souvent du ‘Hamets dans ces lieux. Ils ne pourront pas dire de bénédiction à cette occasion, ils se suffiront de celle qui a été dite à la maison en pensant aussi à la vérification qu'ils allaient faire dans la synagogue ou à la maison d'études.

L'auteur du Michna Broura a écrit : « Il y a des bedeaux qui ne sont pas attentifs à leur devoir de vérifier pendant la nuit, et qui se contentent de bien nettoyer pendant le jour : cela est répréhensible. Il faut les avertir qu'ils ont le devoir de remplir la Mitsva de nos Sages à la lettre ».

Il convient là, de rendre hommage aux Gabayim bien-aimés, que D.ieu les garde en vie, pour le grand mérite qui leur a été donné de servir le public, car ce n'est pas chose si simple que de diriger une synagogue, comme dit la Guémara, traité Horayot : « Vous pensez que je vous donne un pouvoir ? C’est un esclavage que je vous donne ».

Rachi dit que le pouvoir honorifique est en fait un esclavage pour l'homme, car sur lui pèse le joug de nombreuses autres personnes. Heureux sont donc les Gabayim qui font cela avec joie, par amour de la Torah et du Peuple Juif. Leur salaire est mille fois plus élevé que celui qui le fait sans joie et qui, D.ieu préserve, incite les fidèles à s’éloigner des jardins de D.ieu.

Bien au contraire, une personne qui offre à d'autres la possibilité d'acquérir du mérite, celui-ci dépendra alors entièrement de lui. Heureux soit-il dans ce monde-ci et dans le monde futur !
 

Invité pendant Pessah

Même si on est invité pendant Pessah, il est nécessaire de vérifier le ‘Hamets la veille du 14, mais si on sort de chez soi avant la nuit du 14, on devra, a priori, nommer un représentant qui vérifiera sa maison avec bénédiction.

Ainsi, la formule d'annulation du ‘Hamets sera dite par le propriétaire et son annulation sera alors valable.

A contrario, si celui-ci ne veut pas que quelqu'un d'autre vérifie chez lui, il sera tenu de superviser sa maison avant de la quitter, sans bénédiction, car le moment de la vérification n'est pas encore arrivé.
 

Location

Si une personne loue une maison à autrui, la vérification incombe au locataire et non au propriétaire, mais si la maison n'est pas louée, cela dépend :

·  si la maison s'est libérée dans les trente jours avant Pessah(entre le 14 Adar et le 14 Nissan), c'est le propriétaire qui doit vérifier, étant donné que la maison était habitée auparavant (la loi est valable comme dans tout endroit dans lequel on a introduit du ‘Hamets).

·  si la maison s'est libérée plus de trente jours avant Pessah, c'est un moment où il n'y avait pas encore d'obligation de vérifier le ‘Hamets. Etant donné qu'on n'y entre pas pendant Pessah, il n'est alors pas nécessaire de procéder à la vérification.

Il est tout de même recommandé de s'assurer de ce qu'il y a à faire auprès d’un Maître de la Halakha (loi).
 

Procédure d’annulation du ‘Hamets

A la fin de la Bdika (vérification de l'absence de ‘Hamets), il faut annuler celui-ci de crainte qu'il n’en soit resté et qu'on ne l'ait pas vu.

L'annulation consiste à exprimer sa volonté qu'on ne considère en rien ce ‘Hamets et qu'il est pour nous semblable à de la poussière.

On doit comprendre et ressentir que sa pensée est conforme à ce qu'on vient de décrire lorsqu’on formule l'annulation, et non pas s'imaginer que l'on adresse une demande, car dans ce cas, on n'aura pas rempli son devoir d'annulation.

La formule d'annulation se dit en général en araméen : « Kol ‘Hamira Déika Birchouti Déla ‘Hazité Oudela Bi’até Livtil Véleéheévé Ké’afra Déar’a ».

Et si l'on ne comprend pas cette langue, on prononcera la formule en hébreu ou en phonétique français. On dira le texte trois fois pour bien renforcer l'expression de sa pensée et de sa volonté.
 

Avertissement

à la fin de la Bdika, on cachera tout le ‘Hamets dont on a besoin pour le repas du soir et du matin qui suit dans un coin spécial, afin qu'il ne se disperse pas.

Il faut surtout prendre garde aux enfants afin qu'ils ne se promènent pas dans toutes les pièces de la maison pendant qu'ils mangent.