La Guemara dans Roch Hachana nous dit qu'à Roch Hachana, tous les êtres humains passent devant Hachem comme des bené marone ; et elle s'interroge sur la signification de ces deux derniers termes. Elle en donne trois explications, qui -toutes- expriment l'idée qu'à Roch Hachana l'homme est jugé tout seul. Mais pourquoi n'avoir pas dit cela clairement et directement ? Pourquoi avoir utilisé des mots aussi "mystérieux" que "bené marone" pour exprimer l'idée de solitude de l'homme ? Réponse à ces questions à travers un commentaire du Arizal', une définition de la vie et un rappel de l'importance de ne jamais être blasé dans l'étude de la Torah. 

 

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