Résumé de la Paracha de Tazria’ 

  1. Lois liées à l’impureté de la femme qui accouche d’un garçon ou d’une fille et du processus de purification qui comprenait aussi du temps du Beth Hamikdach, l’offrande d’un mouton et d’un pigeon ou à défaut de 2 tourterelles ou 2 colombes.
  2. Lois relatives aux Néga’ïm, soit des plaies sous forme de taches blanches (sorte de lèpre) sur la peau d’un homme, qui le rendaient impur. Cette tache pouvait apparaître également sur une brûlure, une blessure, sur la tête ou la barbe. Le Cohen seul, était habilité à déterminer si la nature de cette tache rendait l’homme impur ou non. Dans certains cas, le porteur de la tache devait être isolé pendant sept jours afin de suivre l'évolution de cette tache. Si la personne était déclarée impure, celle-ci devait sortir du camp jusqu'à ce que la plaie disparaisse.
  3. Lois relatives aux Néga’ïm (taches) de couleur rouge ou verte qui touchent les habits. Dans le cas où ils étaient déclarés impurs par le Cohen, ceux-ci devaient être brûlés.

 

Résumé de la Haftara de Tazria'

(Melakhim II, 4, 42-5, 19)

Les élèves du prophète Elicha' sont assis chez lui dans le Shomron à un moment où une grave famine sévit dans le monde. C'est alors qu'un homme se présente avec un présent composé de quelques pains dans les mains. Elicha' ordonne à son serviteur de nourrir avec ces pains ses milliers d'élèves et assure qu'il y en aura suffisamment pour que tous soient rassasiés. Un miracle supplémentaire a lieu lorsque Elicha' demande à Na'aman, général de l'armée d'Aram et atteint de la lèpre, de se tremper sept fois dans le Jourdain pour guérir. Dans un premier temps, Na'aman refuse de suivre cette consigne, mais encouragé par ses serviteurs, il finit par obtempérer. Voyant qu'il guérit soudain de sa maladie, il demande à Elicha' d'accepter une offrande en cadeau, mais ce dernier refuse. Na'aman demande alors l'autorisation de prendre de la terre d'Israël afin de construire un autel pour Hachem, devenu fraîchement croyant en D.ieu.

Adaptation du Mikra Méfourach (Editions Oz Véhadar) et de Hatorah Chéli (Editions Ma’yenotékha)