Concernant celui qui reconnaît ses affaires et ses livres dans les mains d’un autre, et qu’une rumeur, identifiant ce dernier comme la victime d’un vol, c’est [déjà] propagée dans la ville, il (le présent détenteur, qui se présente comme quelqu’un) qui les aurait achetés, doit jurer [afin de certifier] le montant qu’il a donné [lors de leur acquisition], puis prendra [cette somme auprès de celui qui a été volé].
Si ce n’est pas le cas (c’est-à-dire qu’aucune rumeur de vol ne s’est propagée), on ne fait pas cas [de sa plainte], car je dirais [alors] qu’il les a vendus à un autre, donc celui-ci (leur présent détenteur) les a achetés.