Tant un acheteur, qu’un vendeur peut être victime d’un abus excessif (Onaa).
[Par ailleurs], de même qu’un particulier peut être victime d’un abus excessif, Rabbi Yéhouda dit : un commerçant peut être aussi victime d’un abus excessif.
Celui qui en est victime est en position de force ; s’il le veut, il peut dire (à celui qui l’a abusé) [au choix] ; « Rends-moi mon argent (et je te rends l’objet) ! », ou « Rends-moi (uniquement) le montant dont tu m’as abusé (et je garde l’objet) ! »