Donner, est-ce si simple ? Le fait-on facilement ou doit-on dompter sa nature pour partager ? Prendre de soi et s'en défaire pour autrui, cela fait-il appel à notre cœur ou à notre cerveau ? Et quelle est la différence ? La Chékhina (Présence divine) réside-t-elle précisément dans cet acte où l'on souhaite de tout cœur donner à l'autre en faisant abstraction de soi ?

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