Les chutes de laine qu’un dégraisseur récupère [des vêtements, après les avoir lavés] lui appartiennent. Celles qu’un peigneur récupère [de la laine qu’il peigne] appartiennent au propriétaire [de la laine].
Un dégraisseur peut prendre trois fils [qui dépassent d’un vêtement] et ils lui appartiendront. S’il y en a davantage, ils reviennent au propriétaire [du vêtement]. S’ils étaient noirs [et dépassaient] d'un vêtement blanc, il (le dégraisseur) peut tous les prendre et ils lui appartiendront.
Lorsqu’un tailleur laisse du fil (fourni par le client, en quantité suffisante) pour que l’on puisse coudre avec, ou du tissu (fourni par le client, d’une surface minimale) de 3 doigts sur 3 doigts, ils reviennent au propriétaire [du vêtement].
[Les chutes de bois] que le menuisier extrait avec un rabot [d’un morceau de bois fourni par le client], lui appartiennent, tandis que [les copeaux qui giclent] d’un pieu reviennent au propriétaire [du bois].
[Toutefois], s’il effectuait [son travail] chez le propriétaire, même la sciure revient au propriétaire.