Concernant celui qui s’empare frauduleusement du champ de son prochain, qui a [ensuite] été saisi par des oppresseurs, s’il s’agit là d’un fléau qui affecte l’ensemble du pays, il (le premier voleur) peut dire [au propriétaire initial du champ :]
« Ce qui t’appartient et devant toi ! » (ou en d’autres termes : « Débrouille-toi ! »)
[Par contre], si [cet événement] était liée au voleur (qui était une cible spécifique des oppresseurs), il sera tenu de lui fournir un autre champ.
S’il (le chant) a été inondé par un fleuve, il peut lui dire : « Ce qui t’appartient et devant toi ! »