Rabbi Eliézer dit que pour la mention de la contagion d’impureté par un ver rampant, il est dit (Vayiqra 5,2) : « s’il n’y pense plus » ; donc seulement en cas d’oubli que c’était un ver rampant, on est coupable, non pour l’oubli de se trouver dans le Temple. Rabbi Akiva dit : de l’expression « il a oublié qu’il est impur ». On conclut à la culpabilité pour l’oubli de l’impureté, non pour l’oubli de la sainteté du Temple. Selon Rabbi Yichmael au contraire, du double emploi de l’expression « il oublie » on conclut à la culpabilité pour chaque oubli, celui de l’impureté et celui de la sainteté du Temple.