Une ville « appartenant à un particulier » qui [par la suite] est devenue une ville « appartenant à plusieurs personnes », peut avoir ses parties publiques mises en commun dans leur totalité. Une ville « appartenant à plusieurs personnes » qui [par la suite] est devenue une ville « appartenant à un particulier », ne peut avoir ses parties publiques mises en commun dans leur totalité, si ce n’est dans le cas où ce dernier aura laissé, en dehors [de la ville], une agglomération équivalente à celle de ‘Hadacha de la province de Judée qui contenait 50 habitations ;
telles sont les paroles de Rabbi Yehoudah. Rabbi Chim’on dit : jusqu’à ce qu’il laisse, en dehors de la partie commune, un espace de trois cours comprenant chacune deux maisons ».