Si un israélite a préparé rituellement le vin d’un idolâtre, qu’il l’a laissé dans le domaine de ce dernier, et que celui-ci écrive un acte disant : « J’ai reçu l’argent de toi », le vin reste permis. Mais si l’israélite veut emporter ce vin, [et que l’idolâtre] s’y oppose jusqu’à réception de la somme [stipulée], fait qui est survenu à Beth-Shéane, les Sages ont déclaré ce vin interdit.