Si un individu dit : « voici mes fils », il est cru ; [S’il dit :] « voici mon frère », il n’est pas cru ; mais celui-ci prends avec lui une part de sa part ; s’il meurt, les biens reviennent à leur destination [première]. Si des biens lui échoient d’une autre source, ses frères hériteront avec lui. Si quelqu’un meurt et on trouve un testament attaché à sa hanche, il est considéré comme nul. Si par ce testament il a légué une part de ses biens à un autre, qu’il fasse partie des héritiers ou qu’il n’en fasse pas partie, c’est paroles sont valables.