Si un moribond lègue tous ses biens par écrit à des étrangers et s’est gardé un peu de terres, sa donation est valable ; s’il ne sait pas gardé un peu de terres, sa donation n’est pas valable. S’il n’a pas écrit dans l’acte : « un moribond » et il affirme qu’il l’était, alors que les intéressés disent qu’il était en bonne santé, il lui incombe d’apporter la preuve qu’il était moribond. Ce sont les paroles de Rabbi
Méir. Mais les Sages disent : « celui qui demande une réparation d’argent à son prochain doit être en mesure d’apporter la preuve ».