Lorsqu’un individu partage ses biens verbalement, Rabbi Eliezer dit : « que le donateur soit en bonne santé ou qu’il soit gravement malade, les biens qui offrent une garantie sont acquis par l’argent, l’acte ou la prise de possession ; mais les biens qui n’offrent pas de garantie ne sont acquis que par l’action de la tirer à soi ». Ils lui dire alors : « il arriva un jour que la mère des fils de Rokhel qui était malade dit : « donnez mon manteau à ma fille » ; or il avait une valeur de 12 manés ; lorsqu’elle mourut, ses paroles furent maintenues. Il leur répondit : « que leur mère enterre les fils de Rokhel ».
Les Sages disent : « le jour du Shabbat, ses paroles sont valables puisqu’il n’est pas possible d’écrire, mais pas les jours de semaine ». Rabbi Yehochoua dit : « ils ont dit le Shabbat, à plus forte raison les jours de la semaine ». Il en est de même [dans la controverse suivante] : on peut acquérir pour un mineur, on ne peut pas acquérir pour une personne majeure. (Ce sont les paroles de Rabbi Eliezer).
Rabbi Yehochoua dit : « ils ont dit pour un mineur, à plus forte raison pour une personne majeure ».