Si un individu envoie des cadeaux de fiançailles à la maison de son beau-père, même s’il a envoyé cent mané là-bas et qu’il y a pris un repas de fiançailles, ne fût-ce que d’une valeur d’un dinar, ils ne peuvent plus être exigés [en retour] ; mais s’il n’a pas pris là-bas, de repas de fiançailles, ils peuvent être réclamés. S’il a envoyé de nombreux cadeaux de fiançailles afin qu’ils reviennent avec elle dans la maison de son mari, ils peuvent être réclamés. S’il a envoyé deux petits cadeaux, afin qu’elle s’en serve dans la maison de son père, ils ne peuvent pas être réclamés.