Si la maison s’écroule sur un individu et sa femme, les héritiers du mari disent : « la femme est morte en premier lieu et après [elle] est mort le mari » ; les héritiers de la femme disent : « le mari est mort en premier lieu et après [lui] est morte la femme » ; l’école de Chamaï dit : « ils partagent ». Mais l’école de Hillel dit : « les biens appartiennent à celui qui les a possédés » ; la Ketouba revient aux héritiers du mari, les biens que la femme apporte et emporte avec elle, reviennent aux héritiers du père.