Si la maison s’écroule sur un individu et son père, ou sur lui et sur d’autres personnes donc il devait hériter, alors qu’il a [à honorer] la Ketouba de sa femme ou [à rembourser] une dette, les héritiers du père disent : « le fils est mort en premier lieu et après [lui] est mort le père » ; les créanciers disent : « le père est mort en premier lieu et après lui est mort le fils ». Ainsi dit l’école de Chamaï : « ils partagent ». Mais l’école de Hillel dit : « les biens appartiennent aux héritiers présumés ».