Quelles sont les trouvailles que l’on [garde] pour soi, et quelles sont celles que l’on est tenu de publier (afin de les rendre au propriétaire).
Quelles sont les trouvailles que l’on garde pour soi ? Lorsqu’on aura trouvé : des fruits éparpillés, des pièces éparpillées, des petites gerbes dans un Domaine Public, des ronds de figues, des pains de boulanger, des colliers de poissons [enfilés sur une corde], des morceaux de viande, [des tas de] laine[brute] provenant de leur province d’origine, et faisceaux de tiges de lin et des « langues » de
pourpre…
Telles sont les [trouvailles] que l’on pourra [garder] pour soi, (ainsi sont les paroles de Rabbi Méïr).
Rabbi Yehouda dit que concernant toute [trouvaille] dans laquelle il y aurait un élément différent de l’ordinaire, on sera tenu de la publier [pour la rendre à son propriétaire]. Comment cela ? Lorsque,
[par exemple], on aura trouvé un rond [de figues] dans lequel il y aurait un morceau d’argile, ou un pain dans lequel il y aurait des pièces.
Rabbi Chimon ben Elazar dit que concernant tout ustensile neuf [que l’on aurait trouvé], on ne sera pas tenu de le publier.