Celui qui est sorti [de la limite de son Te’houm] avec « permission » et à qui on a dit [ensuite] que le « nécessaire » avait déjà été fait, dispose de 2000 coudées dans toutes les directions [de l’endroit où il se trouve jusqu’à la fin de Chabbat]. Si [le Te’houm de] l’endroit où il se trouve rejoint les limites de [son propre] Te’houm, c’est comme s’il n’en était jamais sorti, car [nous avons pour principe que] quiconque sort [de son Te’houm] pour sauver quelqu’un peut retourner chez lui.