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Torah écrite (pentateuque) » Nombres (Bamidbar)

Chapitre 23

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23,1
Alors Balaam dit à Balak: "Dresse-moi ici sept autels, et prépare-moi ici sept taureaux et sept béliers."
23,2
Balak fit ce qu'avait dit Balaam; puis Balak et Balaam offrirent un taureau et un bélier sur chaque autel.
23,3
Balaam dit à Balak: "Demeure près de ton holocauste; moi je m'en irai: peut-être l'Éternel s'offrira-t-il à ma rencontre, et, quoi qu'il me révèle, je t'en ferai part." Et il s'en alla dans la solitude.
Peut-être Hachem surviendra-t-il à ma rencontre

Il n’a pas l’habitude de me parler pendant la journée

Il alla dans l’isolement

Comme le rend le Targoum Onqelos : « seul ». C’est une expression de retraite et de calme, où l’on n’est accompagné que par du silence

23,4
Dieu se présenta à Balaam, qui lui dit: "J'ai dressé les sept autels, et j'ai offert un taureau et un bélier sur chaque autel."
Survint (wayyiqar)

Ce mot contient une connotation de honte et d’impureté nocturne (qèri) avec l’idée de difficulté et de dégoût. Il ne s’est révélé à lui pendant la journée que pour montrer Son amour pour Israël

Les sept autels

Il n’est pas écrit ici : « J’ai préparé sept autels », mais : « “les” sept autels ». Il lui a dit : « Leurs patriarches t’ont construit sept autels, et moi je t’en ai construit autant qu’eux tous réunis. Avraham en a construit quatre : « Il bâtit là un autel à Hachem qui lui était apparu » (Beréchith 12, 7), « Il se transporta de là vers la montagne […] il érigea là un autel à Hachem » (Beréchith 12, 8), « Avram dressa sa tente […] il y éleva un autel à Hachem » (Beréchith 13, 18), et le quatrième au mont Moria. Yits‘haq en a construit un : « Il bâtit là un autel […] les serviteurs de Yits‘haq y creusèrent un puits » (Beréchith 26, 25). Et Ya‘aqov en a construit deux, l’un à Chekhem et l’autre à Beith El

Et j’ai fait monter un taureau et un bélier dans l’autel

Tandis qu’Avraham, en tout et pour tout, n’avait offert qu’un bélier

23,5
L'Éternel mit sa parole dans la bouche de Balaam, et lui dit: "Retourne vers Balak, et tu parleras de la sorte..."
23,6
II retourna vers lui et le trouva debout près de son holocauste, lui et tous les princes de Moab.
23,7
Et il proféra son oracle en disant: "II me fait venir d'Aram, Balak roi de Moab; il m'appelle des monts de l'orient: "Viens maudire pour moi Jacob! Oui, viens menacer Israël!"
Maudis-moi Ya‘aqov ! Et va ! Irrite-toi contre Israël

Il lui a demandé de le maudire par ses deux noms, au cas où l’un des deux ne serait pas assez significatif

23,8
Comment maudirais-je celui que Dieu n'a point maudit? Comment menacerai-je, quand l'Éternel est sans colère?
Comment maudirais-je celui que Qél n’a pas maudit

Lorsqu’ils ont mérité d’être maudits, ils ne l’ont pas été, et lorsque leur patriarche a rappelé leur crime – « car dans leur colère ils ont tué un homme » (Beréchith 49, 6) – il n’a maudit que leur colère, comme il est écrit : « maudite leur colère, car elle est puissante » (Beréchith 49, 7). Et lorsque leur patriarche s’est introduit par ruse chez son père, il aurait mérité d’être maudit. Mais qu’est-il écrit à ce sujet ? « Aussi sera-t-il béni ! » (Beréchith 27, 33). Et à propos de ceux chargés de bénir, il est écrit : « Ceux-ci se tiendront pour bénir le peuple » (Devarim 27, 12), tandis que pour ceux chargés de maudire il n’est pas écrit : « Ceux-ci se tiendront pour maudire le peuple », mais : « et ceux-ci se tiendront sur la malédiction » (Devarim 27, 13), car Il n’a pas voulu parler de « malédiction » à leur sujet (Midrach Tan‘houma)

Hachem ne s’est pas irrité

À moi seul, je suis impuissant, mais je sais définir avec exactitude le moment où le Saint béni soit-Il est en colère (Sanhèdrin 105b). Or, Il ne s’est pas mis en colère pendant tous ces jours que j’ai passés chez toi, comme il est écrit : « Mon peuple, souviens-toi donc de ce que méditait Balaq […] et de ce que Bil‘am […] lui répondit […] afin de connaître les justices de Hachem » (Mikha 6, 5)

23,9
Oui, je le vois de la cime des rochers, et du haut des collines, je le découvre: ce peuple, il vit solitaire, iI ne se confondra point avec les nations.
Car je le vois du sommet des roches

Si je considère leurs origines et le début de leurs racines, je les vois assis sur des bases solides comme des rochers et des collines grâce à leurs pères et à leurs mères (Midrach Tan‘houma)

Voici un peuple qui résidera solitaire

Comme le rend le Targoum Onqelos, c’est au mérite de leurs ancêtres qu’ils doivent de résider en solitaire

Et il ne sera pas compté dans les nations

Comme le rend le Targoum Onqelos, ils ne disparaîtront pas complètement avec les autres peuples idolâtres, comme il est écrit : « … car je détruirai entièrement toutes les nations » (Yirmeya 30, 11), et ils ne seront pas comptés parmi les autres. Autre explication : Quand ils se réjouissent, aucun autre peuple ne se réjouit avec eux, comme il est écrit : « Hachem le conduira solitaire » (Devarim 32, 12). Mais quand les peuples idolâtres sont dans le bonheur, ils le partagent avec chacun d’eux sans que cela leur soit compté, et c’est ce que veulent dire les mots : « … et il ne sera pas compté dans les nations » (Midrach Tan‘houma)

23,10
Qui peut compter la poussière de Jacob, nombrer la multitude d'Israël? Puissé-je mourir comme meurent ces justes, et puisse ma fin ressembler à la leur!".
Qui a compté la poussière de Ya‘aqov…

Comme le rend le Targoum Onqelos : « les enfants de la maison de Ya‘aqov […] des quatre camps – des quatre drapeaux – d’Israël ». Autre explication de « poussière de Ya‘aqov » : Innombrables sont les mitswoth qui ont rapport à la poussière, comme : « tu ne laboureras pas avec un bovin et un âne ensemble » (Devarim 22, 10), « tu n’ensemenceras pas ton champ d’espèces hétérogènes » (Wayiqra 19, 19), la cendre de la vache, la cendre de la femme soupçonnée d’infidélité, etc. (Midrach Tan‘houma)

Et le nombre du quart (rova’) d’Israël

Leurs accouplements (revi‘othéhèn), la descendance issue de leurs rapports conjugaux (Nidda 31a)

Que meure mon âme de la mort des hommes droits

Parmi les leurs

23,11
Balak dit à Balaam: "Que m'as-tu fait! J'ai eu recours à toi pour maudire mes ennemis, et voilà que tu les bénis, au contraire!"
23,12
Mais il répondit: "Certes, ce que l'Éternel met dans ma bouche, ne dois-je pas fidèlement le redire?"
23,13
Balak lui dit: "Viens, je te prie, avec moi dans un autre lieu, d'où tu pourras voir ce peuple: tu n'en verras que les derniers rangs, tu ne le verras pas tout entier. Et maudis-le moi de là."
Et maudis-le moi de là

C’est un impératif : « maudis-le moi »

23,14
Il le conduisit au plateau de Çofîm, sur la crête du Pisga; il y dressa sept autels, et offrit sur chaque autel un taureau et un bélier.
Le champ de Tsofim

C’était une butte sur laquelle se tenait le guetteur (tsofè) pour monter la garde au cas où l’armée ennemie viendrait attaquer la ville

Le sommet du Pisga

Bil‘am était moins expérimenté en sortilèges que Balaq : Celui-ci avait prévu qu’une brèche se produirait un jour à cet endroit pour Israël, puisque c’est là qu’est mort Mochè. Il pensait donc que c’est là qu’allait tomber sur eux une malédiction et que là se trouvait la brèche qu’il avait prédite (Midrach Tan‘houma)

23,15
Balaam dit à Balak: "Tiens-toi ici, près de ton holocauste, et moi, j'attendrai là-bas la rencontre."
On se manifestera à moi là-bas

Par le Saint béni soit-Il

On se manifestera

Ce verbe est à la forme passive

23,16
L'Éternel se présenta à Balaam, inspira un discours à ses lèvres, lui disant: "Va rejoindre Balak, et tu parleras ainsi..."
Plaça une chose dans sa bouche

Qu’a-t-Il placé là, et que sous-entend le texte en disant : « Retourne vers Balaq, et ainsi parleras-tu. » ? Quand il eut compris qu’il ne serait pas autorisé à maudire, il se dit : « À quoi bon retourner chez Balaq et le chagriner ? » Le Saint béni soit-Il lui mit un mors et un crochet dans la bouche, comme on harnache un animal pour le diriger là où l’on veut qu’il aille, et il lui dit : « Que tu le veuilles ou non, tu retourneras chez Balaq ! » (Midrach Tan‘houma)

23,17
Il revint près de lui, et le trouva debout près de son holocauste, les princes de Moab à ses côtés. Et Balak lui demanda: "Qu'a dit l'Éternel?"
Et les princes de Moav avec lui

Alors qu’il est écrit plus haut : « lui et “tous” les princes de Moav » ! Lorsqu’ils ont vu qu’on ne pouvait pas compter sur lui, une partie d’entre eux s’en est allée et il n’en est resté qu’une partie (Midrach Tan‘houma)

Qu’a déclaré Hachem

C’est un sarcasme, comme pour lui dire : « Tu n’es pas ton propre maître ! » (Midrach Tan‘houma)

23,18
Il proféra son oracle en ces termes: "Prépare-toi, Balak, à m'entendre; prête-moi _l'oreille, fils de Cippor!
Lève-toi

Quand il l’a vu se moquer de lui, il a cherché à l’humilier : « Tiens-toi debout ! Tu n’as pas à rester assis alors que j’ai été envoyé vers toi par ordre de Hachem ! » (Midrach Tan‘houma)

Fils (beno) de Tsipor

Le waw de beno est un ajout propre au style biblique, comme dans : « les bêtes (‘hayetho) de la forêt » (Tehilim 104, 20), « et animal (we‘hayetho) de la terre » (Beréchith 1, 24), « la pierre dure en une source (lem‘ayno) d’eaux » (Tehilim 114, 4)

23,19
Dieu n'est pas un mortel, pour mentir, ni un fils d'Adam, pour qu'il se ravise; est-ce lui qui parle et ne tient point parole? Qui affirme et n'exécute point?
Qél n’est pas un homme…

Il leur a déjà juré de les faire venir dans « le pays des sept peuples » et de les en faire hériter, et tu voudrais, toi, les faire mourir dans le désert ! (Midrach Tan‘houma)

Est-ce que Lui a dit…

C’est une question qui marque de l’étonnement. Comme le rend le Targoum Onqelos, les mortels réfléchissent et reviennent sur leur décision

23,20
Oui, j'ai reçu mission de bénir; il a béni, je ne puis le dédire.
Voici

Tu m’as demandé : « Qu’a déclaré Hachem ? » (verset 17). J’ai reçu de Lui mission de les bénir

Et Il a béni et je ne révoquerai pas

C’est Lui qui les a bénis, et je ne puis révoquer Sa bénédiction

Et Il a béni (ouvérékh)

Comme ouvirékh. C’est là une particularité de la lettre réch, comme dans : « l’ennemi a outragé (‘héréf) » (Tehilim 74, 18) au lieu de ‘hiréf, ou dans : « il bénit (bérékh) le spoliateur » (Tehilim 10, 3) – celui qui loue et bénit le voleur en disant : « N’aie pas peur, tu ne seras pas puni, tu vivras en paix » met le Saint béni soit-Il en colère. On ne peut pas dire que le mot bérékh soit un substantif, car le réch serait alors ponctué d’un sègol et l’accent tonique serait sur l’avant-dernière syllabe. Mais étant donné qu’il est au mode pi‘él, il est ponctué d’un tséré et l’accent tonique est sur la dernière syllabe

23,21
Il n'aperçoit point d'iniquité en Jacob, il ne voit point de mal en Israël: l'Éternel, son Dieu, est avec lui, et l'amitié d'un roi le protège.
Il n’a pas aperçu d’iniquité en Ya‘aqov…

Comme le rend le Targoum Onqelos. Autre explication : Indépendamment de son sens littéral, ce verset peut être expliqué par un beau midrach

Il n’a pas aperçu

Le Saint béni soit-Il ne scrute pas trop minutieusement les iniquités qui peuvent apparaître en Ya‘aqov lorsqu’ils transgressent Ses commandements, ni n’approfondit leurs fautes et infractions à Sa loi

D’injustice

Le mot ‘amal signifie : « transgression », comme dans : « Il conçoit la transgression (‘amal) » (Tehilim 7, 15), « tu regardes transgression (‘amal) et chagrin » (Tehilim 10, 14), parce que le péché est une transgression devant Hachem

Hachem

Même s’ils Le mettent en colère et se révoltent contre Lui, Il ne les quitte pas

Et le retentissement (outherou‘ath) du roi est en lui

C’est une expression d’affection et d’amitié (ré‘outh), comme dans : « l’ami (ro‘é) de David » (II Chemouel 15, 37 et 16, 16), « il l’a donnée à un ami (leméré‘éhou) » (Choftim 15, 6). De même le Targoum Onqelos le rend par : « la présence de leur roi est en leur sein. 

23,22
Délivré, par ce Dieu, de l'Egypte, il a le vigoureux élan du réêm.
Qél les a fait sortir d’Égypte

Tu as dit : « Voici, un peuple est sorti d’Égypte… » (supra 22, 5). Il n’en est pas sorti par ses propres forces, mais c’est Eloqim qui les a fait sortir (Midrach Tan‘houma)

Comme l’élan (ketho‘afoth) du buffle est en lui

Il a la vigueur de sa grandeur et de sa taille, comme dans : « et de l’argent de puissance (to‘afoth) » (Iyov 22, 25), qui est une expression de robustesse. Le mot ketho‘afoth est à rapprocher, à mon avis, de : « et que le volatile vole (we‘of ye‘oféf) » (Beréchith 1, 20), qu’il vole dans les hauteurs les plus élevées, ce qui est la marque d’une grande robustesse

Comme l’élan du buffle (reém)

Un vol (‘afifath) vers la hauteur. Autre explication : Il s’agit de la vigueur des reémim, dont nos maîtres ont enseigné que ce sont les démons (Guitin 68b)

23,23
Il ne faut point de magie à Jacob, point de sortilège à Israël: ils apprennent à point nommé, Jacob et Israël, ce que Dieu a résolu.
Car il n’y a pas de présage dans Ya‘aqov

Ils méritent d’être bénis car ils n’y a chez eux ni devins ni sorciers

Selon le temps il sera dit à Ya‘aqov…

Il arrivera de nouveau un jour, comme cette fois-ci, où sera révélée la force de l’amour qui leur est porté. Ils seront assis devant Lui et apprendront la Tora de Sa bouche, et leur place sera au sein des anges de service qui leur demanderont : « Qu’a fait Qél ? ». C’est ce que veut dire le verset : « … et tes yeux verront tes maîtres » (Yecha’yah 30, 20). Autre explication : L’expression « il sera dit à Ya‘aqov » n’est pas au futur mais au présent. En d’autres termes, ils n’ont besoin ni de devins ni de sorciers, car il doit être dit à tout moment à Ya‘aqov et à Israël ce que fait le Saint béni soit-Il et quelles sont Ses décisions prises là-haut. Ils n’ont pas besoin pour cela de devins ou de sorciers, mais le message leur en est transmis par la bouche de leurs prophètes (Midrach Tan‘houma). Ou bien encore, ce sont leurs ourim et leurs toumim qui le leur communiquent. Mais le Targoum Onqelos ne traduit pas ainsi

23,24
Voyez! Ce peuple se lève comme un léopard, il se dresse comme un lion; il ne se reposera qu'assouvi de carnage, qu'enivré du sang de ses victimes!"
Voici

Quand ils se lèvent le matin après avoir dormi, ils sont forts comme une lionne ou un lion pour se hâter d’accomplir les mitswoth, revêtir le talith, lire le chema’ et se poser les tefilin

Il ne se couchera pas

La nuit, sur son lit, qu’il n’ait combattu (yokhal) et détruit les obstacles susceptibles de le troubler (letarfo). Comment procède-t-il ? Il récite le chema’ sur son lit et confie son existence à Hachem. Surviennent une troupe ennemie ou des brigands pour lui faire du mal, le Saint béni soit-Il l’en protège en combattant pour lui et en faisant tomber des victimes (‘halalim). Autre explication, comme le rend le Targoum Onqelos : Il ne demeurera dans son pays qu’après avoir fait des massacres et il héritera de la richesse des peuples

Et il boira le sang des dépouilles

Il a prophétisé que Mochè ne mourra pas avant d’avoir vaincu et tué les rois de Midyan, et qu’il sera lui-même tué avec eux, comme il est écrit : « Et Bil‘am fils de Be‘or, le sorcier, les enfants d’Israël l’ont tué par l’épée avec les autres victimes » (Yehochou‘a 13, 22)

23,25
Balak dit à Balaam: "Ne le maudis point, soit, mais ne le bénis point non plus."
Aussi

Le premier gam (« aussi ») complète le second, et réciproquement, comme dans : « Ni (gam) toi ni (gam) moi ne l’aurons ! » (I Melakhim 3, 26), ou dans : « aussi (gam) le jeune homme, aussi (gam) la vierge » (Devarim 32, 25)

23,26
Balaam répondit à Balak: "Ne t'avais-je pas fait cette déclaration: tout ce que dira l'Éternel, je dois le faire?"
23,27
Et Balak dit à Balaam: "Viens donc, que je te conduise à une autre place; peut-être ce Dieu trouvera-t-il bon que, de là, tu me les maudisses."
Que tu me le maudisses

Il ne s’agit pas ici d’un impératif, contrairement à : « et maudis-le moi de là » (verset 13), mais d’un futur : « Peut-être lui plaira-t-il que tu me le maudisses de là. » En français médiéval : « maldiras »

23,28
Et Balak emmena Balaam sur la cime du Peor, qui domine la surface du désert.
Au sommet du Pe‘or

Balaq, qui était devin, a prévu qu’ils seraient un jour punis à cause de Pe‘or, mais il ne savait pas comment. Il s’est dit : « Peut-être est-ce de là que s’abattra sur eux la malédiction. » Il en est ainsi de tous les astrologues : ils voient mais ne savent pas ce qu’ils voient

23,29
Balaam dit à Balak: "Construis-moi ici sept autels, et prépare-moi ici sept taureaux et sept béliers."
23,30
Balak fit ce qu'avait dit Balaam, et il offrit un taureau et un bélier sur chaque autel.
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