Un homme qui se tient dans un « Domaine Privé « ne peut ouvrir [une porte qui donne sur la rue, en passant sa main] par le « Domaine Public ».
[De la même manière, s’il se trouve] dans le « Domaine Public » [il lui est interdit] d’ouvrir [la porte en passant la main] par le « Domaine Privé », si ce n’est qu’il ait fait [au préalable, autour du seuil extérieur de la porte] une cloison haute de 10 paumes ;
telles sont les paroles de Rabbi Méïr.
Ils (les Sages) lui rétorquèrent : un fait [se produisit] dans le marché des engraisseurs de Jérusalem, à l’occasion duquel [on put constater] qu’ils fermaient [leur magasin par l’extérieur], puis déposaient leurs clés au-dessus [du montant] de la porte. Rabbi Yossé précise : c’est d’un marché de lainiers dont il s’agissait.