Si un individu achète deux arbres dans le champ de son prochain, il n’a pas acheté le terrain. Rabbi Méir dit : « il a acheté le terrain ». S’ils grandissent, celui-là ne peut les couper ; ce qui pousse depuis le tronc lui appartient, ce qui pousse depuis les racines appartient au propriétaire de la terre. S’ils dessèchent, le terrain ne lui appartient pas. S’il en a acheté trois, il a acheté [également] le terrain. S’ils grandissent, celui-là peut les tailler ; ce qui pousse depuis le tronc et depuis les racines, lui appartient ; s’ils dessèchent, le terrain lui appartient.