Si quelqu’un envoie son fils chez le boutiquier en lui donnant un poundion et que celui-ci lui mesure pour un issar d’huile et lui rend issar, lorsque [l’enfant] casse la bouteille et perd l’issar, le boutiquier est responsable. Rabbi Yehouda le rend quitte du fait que [le père] l’a envoyé dans cette condition. Les Sages reconnaissent avec Rabbi Yehouda qu’à partir du moment où la bouteille était dans la main de l’enfant et que le boutiquier il y a versé la mesure [d’huile], le marchand n’est pas responsable.