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Torah écrite (pentateuque) » Exode (Chemot)

Chapitre 27 (Tetsave)

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27,1
"Puis tu feras l'autel, en bois de chittîm; cinq coudées de longueur, cinq coudées de largeur, l'autel sera carré, et trois coudées de hauteur.
Tu feras l’autel… et sa hauteur sera trois coudées

Selon l’opinion de rabi Yehouda, il faut prendre ces chiffres au pied de la lettre. Rabi Yossi a enseigné : Il est écrit ici : « carré », et il est écrit plus loin, pour l’autel intérieur [réservé à l’encens] : « carré » (infra 30, 2). De même que, pour celui dont il est question là-bas, sa hauteur représentait le double de sa largeur, de même, dans notre cas, sa hauteur représente-t-elle le double de sa largeur. Comment comprendre, alors, que « sa hauteur sera trois coudées » ? Il s’agit de la distance séparant le pourtour du sommet (Zeva‘him 59b)

27,2
Tu sculpteras ses cornes aux quatre angles, de sorte qu'elle fassent corps avec lui et tu le revêtiras de cuivre.
Ses cornes en seront issues

On ne devra pas les fabriquer séparément et les rattacher ensuite

Tu le plaqueras de cuivre

Pour l’expiation de l’effronterie (« l’insolence du “front” »), comme il est écrit : « … et “ton front” est en cuivre » (Yecha’ya 48, 4)

27,3
Tu feras ses cendriers, destinés à en recueillir les cendres; ses pelles, ses bassins, ses fourches et ses brasiers. Pour tous ces ustensiles tu emploieras le cuivre.
Ses marmites

Ce sont des sortes de pots

Pour sa cendre

Pour y recueillir la cendre retirée de l’autel. Le verbe dachon, dérivé de dèchèn (« cendre ») signifie : « enlever la cendre ». C’est ainsi que le rend le Targoum Onqelos : « pour y recueillir la cendre ». La langue hébraïque connaît des mots qui peuvent avoir des significations opposées, telles que : « construire » et : « détruire », comme dans : « elle a enraciné (watachréch) ses racines » (Tehilim 80, 10), « le sot prend racine (machrich) » (Iyov 5, 3), et à l’inverse : « il déracinera (thecharéch) toutes mes récoltes » (Iyov 31, 12). Il en va de même dans : « quatre, cinq dans ses branches (bisse‘ifèha) fertiles » (Yecha’ya 17, 6), et à l’inverse : « il enlève sa branche (messa‘éf) » (Yecha’ya 10, 33), c’est-à-dire qu’il le dépouille de ses branches. Il en va encore de même dans : « et celui-ci, en dernier, lui a brisé les os (itsemo) » (Yirmeya 50, 17), le verbe itsemo correspondant à la même racine que le substantif ètsèm (« os »). De même encore dans : « ils le lapidèrent (wayiskelouhou) avec des pierres » (I Melakhim 21, 13), et à l’inverse : « épierrez (saqlou) ! » (Yecha’ya 62, 10), c’est-à-dire : « ôtez ses pierres ! » ou : « il l’entoura d’une clôture et l’épierra (wayesaqeléhou) » (Yecha’ya 5, 2). Ici aussi le verbe dachon signifie : « enlever la cendre », en français médiéval : « descendrer »

Et ses pelles

Comme le rend le Targoum Onqelos : « des truelles » avec lesquelles on ôtait la cendre. C’était comme une sorte de couvercle de marmite, en métal léger, et pourvu d’un manche, en français médiéval : « vadil »

Et ses bassins

Où l’on recueillait le sang des sacrifices

Et ses fourches

C’était comme une sorte de crochets recourbés. On en frappait la viande, dans laquelle ils s’enfonçaient, et ils la retournaient sur les braises disposées sur l’autel, dont ils hâtaient ainsi l’incinération. En français médiéval : « crocins ». Nos Sages les appellent tsinouriyoth (Yoma 12a)

Et ses racloirs

(ma‘htoth) – Ils étaient munis d’un récipient dans lequel on plaçait les braises prélevées sur l’autel et que l’on portait sur l’autel intérieur réservé à l’encens. On les appelle ma‘htoth parce qu’ils servent à « enlever », comme dans : « pour enlever (la‘htoth) le feu du foyer » (Yecha’ya 30, 14), dans le sens de : « prendre le feu » de sa place, comme dans : « un homme prend-il (haya‘htè) du feu dans son sein » (Michlei 6, 27)

Pour tous ses ustensiles

Le lamèd (« pour ») de lekhol est explétif (Voir supra 14, 28)

27,4
Tu y ajouteras un grillage en forme de réseau de cuivre et tu adapteras à ce réseau quatre anneaux de cuivre, vers ses quatre angles.
Un grillage (mikhbar

) – Le mot mikhbar (« grillage ») a le même sens que le mot talmudique kevara, appelé : « crible » en français. C’est une sorte de revêtement placé sur l’autel, qui comportait de nombreux trous, comme un filet. Les mots de ce verset sont inversés, et voici ce qu’ils veulent dire : « Tu lui feras un grillage de cuivre, un ouvrage de treillis »

27,5
Tu le placeras sous l'entablement de l'autel, dans la partie inférieure et ce réseau s'élèvera jusqu'au milieu de l'autel.
L’entablement (karkov) de l’autel

Un pourtour. Tout ce qui enveloppe un objet en l’entourant est appelé karkov. C’est ce qu’on nous apprend dans le traité ‘Houlin (25a) : « Est considéré comme un objet de bois inachevé, tout ce qui a besoin d’être raboté et qui doit recevoir une bordure (lekarkov). » De même traçons-nous des rayures arrondies sur les panneaux qui forment les parois des coffres et des sièges en bois. De la même manière, on avait pratiqué tout autour de l’autel une bordure en creux, de la largeur d’une coudée, afin de l’embellir, au niveau de la sixième coudée de sa hauteur. Ceci correspond à l’opinion selon laquelle sa hauteur représentait le double de sa longueur. Comment expliquera-t-on alors : « … et sa hauteur sera trois coudées » (verset 1) ? Depuis la ligne supérieure de cette bordure jusqu’au sommet. Mais de bordure qui permît aux kohanim d’y circuler, l’autel de cuivre n’en avait qu’à son sommet, à l’intérieur de ses cornes. C’est ce qu’on nous apprend dans le traité Zeva‘him (62a) : « Qu’est-ce que karkov ? L’espace entre une corne de l’autel et l’autre, de la largeur d’une coudée, et en allant vers l’intérieur une autre coudée, destiné à permettre la circulation des kohanim. » Ce sont ces deux coudées qui s’appellent karkov. Et l’on objecte là-bas : « Il est pourtant écrit : “sous l’entablement de l’autel en bas” ! », voulant dire par là que le pourtour était sur la paroi, et que le revêtement constitué par la grille était au dessous ! Ce à quoi il est répondu qu’il y en avait deux : Une pour la décoration, celle sur la paroi, et l’autre pour les kohanim, à savoir le revêtement constitué par la grille, pour qu’ils ne glissent pas. La largeur de la seconde arrivait jusqu’à la moitié de la hauteur de l’autel. La largeur du pourtour était donc d’une coudée, et elle marquait la moitié de la hauteur de l’autel pour former une démarcation entre les aspersions de sang destinées à la partie supérieure et celles destinées à la partie inférieure (Zeva‘him 53a). Symétrique à cette bordure, on a tracé sur l’autel du Temple de Jérusalem, en son milieu, un trait constitué par un filet rouge (Middoth 3, 1). Quant à la rampe par laquelle on accédait à l’autel, bien qu’il n’en soit pas question dans le présent chapitre, nous en avons établi l’existence dans le chapitre relatif à l’autel, où il est indiqué : « Tu feras pour moi un autel de terre… et tu ne monteras pas par des degrés sur mon autel » (supra 20, 21 et 23), ce qui veut dire que « tu ne la constitueras pas par des marches, mais en pente douce ». D’où nous apprenons qu’il y avait une rampe. Voilà ce que nous enseigne la Mekhilta. Cet « autel de terre », c’est l’autel de cuivre, dont on remplissait la cavité intérieure avec de la terre provenant du lieu de campement. La rampe se trouvait au sud de l’autel, et elle n’était séparée de l’autel à son sommet que par la largeur d’un cheveu. La base de la rampe se trouvait à une coudée des tentures du parvis sud. Ceci correspond à l’opinion selon laquelle sa hauteur était de dix coudées. Quant à celui qui est d’avis que les mesures doivent être prises au pied de la lettre, à savoir trois coudées de hauteur (verset 1), la longueur de la rampe n’était que de dix coudées. Voilà ce que j’ai trouvé dans la michna des « quarante-neuf mesures ». Quant à la précision donnée dans le traité Zeva‘him selon laquelle la rampe n’était séparée de l’autel à son sommet que par la largeur d’un cheveu, nous la déduisons du texte

27,6
tu feras pour l'autel des barres de bois de chittîm, que tu recouvriras de cuivre.
27,7
Ces barres, introduites dans les anneaux, se trouveront aux deux côtés de l'autel lorsqu'on le transportera.
Dans les anneaux

Dans les quatre anneaux pratiqués dans l’entablement

27,8
Tu le disposeras en boiserie creuse; comme on te l'a fait voir sur cette montagne, c'est ainsi qu'ils l'exécuteront.
Creux quant aux planches

Comme le rend le Targoum Onqelos : « creux par rapport aux planches ». Des planches de bois de chittim de chaque côté, et une partie vide au milieu. Il n’était pas fait d’un seul bloc de bois, ce qui aurait donné une épaisseur de cinq coudées sur cinq, comme un gros billot

27,9
"Tu formeras ensuite le parvis du tabernacle. Pour le côté du sud ou méridional, les toiles du parvis, en lin retors, auront cent coudées de longueur, formant un côté.
Des tentures

Faites comme des sortes de voiles de bateau, avec beaucoup de trous car elles étaient tressées et non tissées. Le Targoum Onqelos rend ce mot par seradin, terme identique à serada, qu’il emploie pour traduire : « grillage » (verset 4) : ils étaient percés comme un tamis

Pour le coin (lapéa)

Le mot péa désigne le côté tout entier (V. supra 26, 18)

27,10
Il aura vingt piliers dont les socles, au nombre de vingt, seront de cuivre; les crochets des piliers et leurs tringles d'argent.
Et ses piliers seront vingt

Cinq coudées d’un pilier à un autre

Et leurs socles

Ceux des piliers, seront en cuivre. Les socles reposaient sur le sol, et les piliers y étaient enfoncés. On en avait comme des sortes de piquets, en français : des « pals ». Leur longueur était de six coudées et leur largeur de trois, et un anneau de cuivre était fixé en leur milieu. On entourait le bord supérieur de la tenture au moyen de cordes, face à chaque pilier, et on accrochait le piquet par son anneau sur des crochets en forme de waw placés sur les piliers. Une des pointes était dressée vers le haut, et une autre vers le pilier, comme on fait pour fixer les portes, par ce que l’on appelle en français : des « gonds ». La tenture était suspendue à partir d’en-bas dans sa largeur, formant ainsi la hauteur des séparations du parvis

Les crochets des piliers

Ce sont les crochets en forme de waw

Et leurs tringles (wa‘hachouqéhem)

Les piliers étaient cerclés de filets d’argent. Je ne sais pas s’il y en avait sur toute leur longueur, ou seulement en haut, ou seulement au milieu. Ce que je sais, en revanche, c’est que le mot ‘hachouq évoque l’idée de lier. Il est employé, en effet, à propos de la concubine de Guiv‘ah : « Il avait avec lui deux ânes sellés (littéralement : “liés”) » (Choftim 19, 10), mot que le Targoum rend par ‘hachiqin

27,11
De même, pour la longueur du côté nord, des toiles de cent coudées de long, avec vingt piliers ayant vingt socles de cuivre, avec les crochets et leurs tringles en argent.
27,12
Pour la largeur du parvis à la face occidentale, des toiles de cinquante coudées, avec dix piliers munis de dix socles.
27,13
Largeur du parvis au côté oriental, au levant, cinquante coudées:
Au coin est (qédma) au levant

On appelle la face est qèdèm (« devant »), qui a le même sens que panim (« la face que l’on a devant soi »). Le mot a‘hor (« derrière ») désigne ce qu’on a derrière soi. C’est pourquoi on appelle l’est qèdem, c’est-à-dire : « ce qui est devant soi », et l’ouest a‘hor, c’est-à-dire : « ce qui est derrière », comme dans : « … et jusqu’à la mer derrière (haa‘haron) » (Devarim 11, 24), que le Targoum Onqelos traduit par : « mer occidentale »

Cinquante coudées

Ces cinquante coudées n’étaient pas toutes fermées par des tentures, puisqu’il y avait une ouverture pour l’entrée. Il y avait cependant des tentures sur quinze coudées de part et d’autre de l’entrée, de sorte qu’il restait, au milieu, un intervalle à découvert de vingt coudées. C’est ce que veut dire le texte dans : « Et à la porte du parvis un rideau de vingt coudées… » (verset 16), à savoir un voile qui formait tenture devant l’entrée, d’une longueur de vingt coudées, soit autant que la largeur de l’entrée

27,14
quinze coudées de toiles formeront une aile, elles auront trois piliers et ceux-ci trois socles.
Leurs piliers seront trois

Cinq coudées d’un pilier à un autre, à savoir cinq coudées entre le premier pilier de la face sud, qui était à l’angle sud-est, et le premier des trois piliers de la face est, cinq autres coudées jusqu’au deuxième pilier, et autant entre le deuxième et le troisième. Il en était de même pour le deuxième côté (verset 15). Il y avait quatre piliers pour le rideau (verset 16), ce qui donne dix piliers à l’est face à autant à l’ouest

27,15
Egalement, pour la seconde aile, quinze coudées de toiles, ayant trois piliers avec trois socles.
27,16
La porte du parvis sera un rideau de vingt coudées, étoffe d'azur, de pourpre, d'écarlate et de lin retors, artistement brodés; elle aura quatre piliers avec quatre socles.
27,17
"Tous les piliers formant le pourtour du parvis seront unis par des tringles d'argent; leurs crochets seront d'argent et leurs socles de cuivre.
Tous les piliers du parvis autour…

Le texte n’a parlé explicitement des crochets, des tringles et des piliers de cuivre que pour les faces nord et sud, tandis qu’il n’en pas été question pour les faces est et ouest. D’où la précision fournie par le présent verset

27,18
Longueur du parvis, cent coudées; largeur, cinquante de part et d'autre; hauteur, cinq coudées de toiles en lin retors, avec socles de cuivre.
La longueur du parvis

Sur les faces nord et sud, qui vont d’est en ouest, cent coudées

Et la largeur de cinquante dans cinquante

La partie du parvis située à l’est formait un carré de cinquante coudées sur cinquante. En effet, la longueur du tabernacle était de trente coudées et sa largeur de dix. Son entrée se situait à l’est, à l’extrémité des cinquante coudées de la longueur du parvis. Il se situait donc entièrement dans les cinquante coudées intérieures, et sa propre longueur se limitait à trente coudées. Il restait donc en arrière vingt coudées d’espace libre, entre les tentures qui étaient à l’ouest et les tapisseries situées à l’arrière. Quant à la largeur du tabernacle, elle était de dix coudées au milieu de la largeur du parvis. Il restait donc vingt coudées d’espace libre au nord et au sud, entre les tentures du parvis et les tapisseries du tabernacle. Il en était de même à l’ouest. Les cinquante coudées sur cinquante sont celles du parvis qui était à l’avant (‘Erouvin 23b)

Et la hauteur de cinq coudées

La hauteur de ce qui constituait les séparations du parvis, c’est-à-dire la largeur des tentures

Et leurs socles seront de cuivre

Y compris les socles du rideau, et ce afin que tu ne dises pas que les socles de cuivre n’ont été prescrits que pour les piliers des tentures, tandis que les socles du rideau auraient pu être faits d’un autre matériau. Voilà pourquoi, à mon avis, le texte répète ici ce qu’il a déjà dit au verset précédent

27,19
Quant aux ustensiles employés aux divers services du tabernacle, ainsi que ses chevilles et toutes les chevilles du parvis, ils seront en cuivre.
Pour tous les ustensiles du tabernacle

Dont on avait besoin pour le monter et le démonter, comme les maillets pour enfoncer chevilles et piliers

Les chevilles (yithdoth)

Sortes de pieux en cuivre destinés aux tapisseries de la tente et aux tentures du parvis, que l’on attachait par le bas, tout autour, avec des cordes, pour que le vent ne les soulève pas. Je ne sais cependant pas s’ils étaient enfoncés dans le sol ou s’ils étaient simplement attachés et retenaient par le bas les tapisseries sous l’effet de leur poids afin de les immobiliser malgré le vent. Je pense toutefois que leur nom même suggère qu’ils étaient enfoncés dans le sol et que c’est la raison pour laquelle on les appelle yithdoth. J’en veux pour preuve le verset : « … une tente que l’on ne déplacera pas, ses piquets (yethédothaw) ne voyageront jamais » (Yecha’ya 33, 20)

27,20
" Pour toi, tu ordonneras aux enfants d'Israël de te choisir une huile pure d'olives concassées, pour le luminaire, afin d'alimenter les lampes en permanence.
Et toi

dépôt. Comme nous l’avons appris dans le traité Mena‘hoth (86a) : « On laisse mûrir l’olive au faîte de l’olivier »

Concassée

On pilait les olives dans un mortier, sans les presser sous la meule, afin qu’il n’y ait pas de dépôt. Ce n’est qu’après l’extraction de la première goutte qu’on les introduisait sous la meule pour les écraser. L’huile obtenue sous la seconde pression était impropre pour la menora, mais bonne pour les oblations, ainsi qu’il est écrit : « concassée pour le luminaire », et non : « concassée pour les oblations » (Mena‘hoth 86a)

Pour faire monter une lumière perpétuelle

On allumait jusqu’à ce que la flamme monte d’elle-même (Chabath 21a)

Perpétuelle

Tout ce qui se renouvelle nuit après nuit est appelé : « perpétuel », tout comme l’on dit : « holocauste perpétuel » (Bamidbar 28, 6), qui ne se renouvelle pourtant que jour après jour. Il en est de même pour les oblations « à la poêle » dont il est écrit (Wayiqra 6, 13) : « comme oblation perpétuelle », alors qu’elle était offerte « sa moitié le matin et sa moitié le soir ». En revanche, le mot : « perpétuellement » employé à propos du pain de proposition (supra 25, 30) veut dire : « d’un Chabath à l’autre »

27,21
C'est dans la Tente d'assignation, en dehors du voile qui abrite le Statut, qu'Aaron et ses fils les disposeront, pour brûler du soir jusqu'au matin en présence du Seigneur: règle invariable pour leurs générations, à observer par les enfants d'Israël.
Du soir jusqu’au matin

Donne-lui la mesure d’huile nécessaire pour qu’elle brûle du soir jusqu’au matin ! Nos Sages l’ont évaluée à un demi-log pour les nuits de tévéth, qui sont les plus longues. Il en va de même pour toutes les nuits de l’année, et peu importe s’il en reste (Mena‘hoth 89a)

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