Comment le frappe-t-on ? Il (l’agent du tribunal) lui attache les deux mains de chaque côté du poteau. Et le gardien de l’assemblée, (c’est-à-dire l’agent du tribunal), saisit ses vêtements [et les enlève pour dénuder l’endroit où il doit être frappé], s’ils se déchirent, ils se déchirent, et s’ils craquent aux coutures, ils craquent, jusqu’à ce qu’il découvre son cœur, (c’est-à-dire jusqu’à ce qu’il dénude la poitrine et le dos du condamné).
Et la pierre [que l’agent du tribunal utilise comme estrade] est placée derrière lui (le condamné) ; le gardien de l’assemblée se tient debout dessus, et [tient] dans sa main une lanière [faite en cuir] de veau doublée en deux et deux en quatre.
Et deux lanières [faites] en cuir d’âne montaient et descendaient dans elle.