Celui qui dit à son fils : « Je fais le vœu (Kounam) de t’interdire de profiter de mes biens ! », s’il (le père) en vient à mourir, il (son fils) l’hérite.
Si le père avait précisé : « … de mon vivant et une fois mort ! », il ne l’hérite pas, mais ils reviennent aux [autres] fils et aux frères [du père].
S’il n’a pas [de moyens de subsistance], il pourra emprunter de l’argent et les créanciers viendront [ensuite] se faire rembourser (auprès des ayants-droits qui ont perçu l’héritage à sa place).