La Téchouva pour les fautes de l'homme envers D.ieu (Ben adam la Makom) est-elle utile pour l'expiation des fautes de l'homme envers son prochain (Ben adam le 'Havéro) ou faut-il impérativement dissocier les deux et procéder à leur réparation de manière distincte ? Quelle différence y a-t-il entre les mots Séli'ha, Mé'hila et Kappara ? Ce sont trois notions relatives au pardon mais font-elles toutes référence à une "Téchouva Chéléma" (un repentir complet) ?

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