Si un individu [en mourant] laisse des fils et des filles et un enfant de sexe indéterminé, lorsqu’il a beaucoup de biens, les enfants mâles repoussent celui-ci du côté des filles ; s’il y a peu de biens, les filles le repoussent du côté des garçons. Lorsque quelqu’un dit : « si ma femme donne naissance à un garçon, il aura un mané et qu’elle met au monde un fils, il reçoit un mané. [S’il dit : « si elle donne naissance] à une fille, elle aura deux cents zouz », et qu’elle met au monde une fille, elle reçoit deux cents zouz. [S’il dit :] « si elle donne naissance à un garçon, il aura un mané, à une fille, elle aura deux cents zouz et qu’elle met au monde un garçon et une fille, le garçon reçoit un mané et la fille reçoit deux cents zouz. Si elle donne naissance à un enfant de sexe indéterminé, il ne reçoit rien. Mais s’il dit : « quel que soit l’enfant que ma femme met au monde, il aura [tant], il le reçoit. S’il n’y a pas d’autre héritier que celui-ci, il hérite de tout.