Concernant celui qui trouverait des actes de créances ; s’ils sont adossés à des biens « qui peuvent servir de garantie », il ne doit pas les rendre [aux emprunteurs dont les noms sont inscrits sur les contrats], car le tribunal peut ordonner leur remboursement [par la vente de ces biens].
[Par contre], s’ils ne sont pas adossés à des biens « qui peuvent servir de garantie », il doit les rendre [aux emprunteurs], car le tribunal ne peut pas ordonner leur remboursement (par la vente de ces biens).
Telles sont les paroles de Rabbi Méïr. [Pour leur part], les Sages disent que dans un cas comme dans l’autre, il ne doit pas les rendre [aux emprunteurs], car le tribunal peut ordonner leur remboursement (par la vente de ces biens).