Concernant celui qui a loué une vache de son prochain, puis l’a prêtée à un autre [chez qui] elle est morte naturellement ; celui qui l’a louée pourra jurer qu’elle est morte naturellement, [à la suite de quoi] l’emprunteur devra payer (la valeur de la vache) à celui qui l’a louée. Rabbi Yossi a dit : « Comment se peut-il que ce dernier puisse faire du commerce avec la vache de son prochain ? En fait, il devra rendre [la valeur de] la vache à son propriétaire ! »