[Un berger] ne peut accepter un tsone barzel (litt. « un troupeau en fer ») d’un Juif (afin d’en partager les bénéfices ultérieurs), car il y a, [en l’occurrence], de l’usure. Par contre, il peut accepter un tsone barzel d’un non-juif (afin d’en partager les bénéfices ultérieurs), de même que l’on peut lui emprunter ou lui prêter de l’argent avec intérêts ; il en est de même concernant un « résident non-juif » (guer tochav).
Un Juif peut prêter l’argent, [qu’il a initialement emprunté d’un non-juif], à un autre Juif, et ce, lorsqu’il le fait avec l’accord du non-juif. Par contre, on ne pourra pas [laisser un non-juif agir de la sorte, s’il le fait] avec l’accord du Juif (qui lui a initialement prêté de l’argent).