Si quelqu’un prête [à un autre] sur gage, il est [à considérer comme] un gardien salarié. Rabbi Yehouda dit : « s’il lui a prêté de l’argent, il est [à considérer comme] un gardien bénévole. S’il lui a prêté des fruits, il est [à considérer comme] un gardien salarié.
Abba Chaoul dit : « il est permis de louer le gage d’un pauvre, pour déduire [la rémunération de la location] de la dette, car il agit comme s’il rapportait un objet perdu ».