Si quelqu’un prend à son prochain un champ à ferme et que les sauterelles en dévorent [les produits] ou qu’il est desséché, si c’est un fléau national, il peut lui retrancher [quelque chose] du fermage ; si ce n’est pas un fléau national, il ne peut rien lui retrancher du fermage. Rabbi Yehouda dit : « S’il l’a pris de lui pour une [certaine] somme d’argent, il ne peut, ni dans un cas, ni d’autre l’autre, lui retrancher [quelque chose] du fermage ».