Notre idée de la science concernant l’existence d’un Créateur est faussée.

Depuis des années, on nous assène une théorie fallacieuse qui ne tient plus l’examen de la réalité des faits.

On nous martèle depuis des années que la vie est le fruit d’une adaptation environnementale – pourtant personne ne comprend d’où vient la première molécule de vie. Alors, on passe outre le problème…

Mais, aujourd’hui, nous sommes équipés : nous pouvons nous rendre compte du dessein de l’Intelligence supérieure. 

Voyons un extrait de la signature du Créateur dans l’existence

Le nombre d’étoiles estimées dans la totalité de l’univers visible est de l’ordre de 1022.  Dans tout l’univers, il pourrait y avoir approximativement 104 ou 10 000 planètes comparables à la Terre tournant autour d’une étoile semblable au Soleil. Ces dix mille planètes potentiellement similaires à la Terre seraient distribuées parmi les 1011 ou 100 000 000 000 de galaxies de la totalité de l’univers visible, ce qui nous donne une planète comparable à la Terre par tranche de 10 000 000 galaxies.

Quelle est la probabilité pour qu’une de ces galaxies ait un système stellaire pouvant abriter la vie ? Presque nulle, observons les chiffres de probabilités. 

En fondant nos calculs sur les observations cosmologiques des autres galaxies, la Voie lactée, la distribution et les caractéristiques des planètes de notre système solaire, nous obtenons que le profil unique capable d’abriter la vie est notre univers et par là, la preuve que l’univers fut créé par Le Concepteur et non par le fruit du hasard.

Voyons de quoi avons-nous besoin pour que la vie voie le jour sur la planète Terre :  

  1. Une galaxie en spirale et non en interaction – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fréquence d’une galaxie en spirale isolée est d’environ une galaxie sur dix, soit 0,1.
  1. Une faible concentration d’étoiles dans la région locale de l’étoile concernée – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction d’étoiles dans la galaxie située dans une région de faible densité locale d’étoiles, c’est-à-dire entre les bras spiralés et loin du centre galactique, 0,001.
  1. Un emplacement dans la région galactique ayant une haute densité locale en métaux pour produire un système stellaire riche en métaux – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction d’étoiles dans la galaxie située dans une région de haute densité locale de métaux, 0,01.
  1. Une étoile à une masse similaire à celle du Soleil, afin que sa production en énergie reste théoriquement constante durant au moins cinq milliards d’années – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction d’étoiles ayant une masse similaire à celle du Soleil, 0,05.
  1. La formation d’un système stellaire autour des vestiges d’une supernova de seconde ou troisième génération sur une période de plusieurs milliards d’années suivant la supernova la plus récente. – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la formation d’un système stellaire autour des vestiges d’une supernova de deuxième ou troisième génération dans une période de plusieurs milliards d’années suivant la supernova la plus récente, 0,1.
  1. Une planète riche en métaux (pour avoir assez d’éléments nécessaires pour former les molécules de vie) – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de planètes riches en métaux, 0,5.
  1. Un contenu faible en carbone (afin d’éviter une atmosphère trop riche en dioxyde carbone) – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de planètes ayant un contenu faible en carbone, 0,3.
  1. Un contenu faible en eau (pour permettre une couverture modérée des océans, mais également la présence des terres sèches) – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de planètes ayant un contenu faible en eau, 0,3.
  1. Un cœur en fusion riche en fer en rotation à l’intérieur de la planète (pour créer un champ magnétique protégeant contre le rayonnement) – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de planètes ayant un cœur en fusion riche en fer, 0,2.
  1. Une planète avec une masse capable de retenir une atmosphère riche en oxygène, mais pas en hydrogène. – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de planètes ayant une masse (gravité) capable de retenir une atmosphère riche en oxygène, mais pas en hydrogène, 0,2.
  1. Des plaques tectoniques (pour produire une dérive des continents) – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de planètes ayant une plaque tectonique formant des continents, 0,1.
  1. Une planète ayant une orbite presque circulaire (pour assurer un apport solaire assez constant tout au long de l’année). – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de planètes ayant une orbite presque circulaire, 0,5.
  1. Une planète située à cent cinquante millions de kilomètres environ d’une étoile semblable au Soleil. (Assez proche pour recevoir suffisamment de rayons de soleil mais suffisamment éloignée pour éviter le verrouillage gravitationnel avec son étoile) – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de planètes situées à cent cinquante millions de kilomètres approximativement d’une étoile comparable au Soleil, 0,1.
  1. Un système planétaire avec d’immenses planètes extérieures (pour aider à réduire la fréquence des impacts météoriques) – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de systèmes planétaires ayant d’immenses planètes extérieures, 0.01.
  1. Un système planétaire dépourvu d’immenses planètes intérieures (pour éviter les interactions gravitationnelles avec les plus petites planètes intérieures). La fraction de systèmes planétaires n’ayant pas de planètes intérieures gigantesques, 0,1.
  2. Une rotation planétaire avec une période se comptant en jours (afin d’assurer une distribution généralisée du rayonnement solaire sur la planète). Voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de planètes ayant une période de rotation planétaire se comptant en jours, 0,5.
  1. Une inclinaison modérée de l’axe de rotation de la planète – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de planètes ayant une inclinaison modérée de leur axe de rotation, 0,2.
  1. Une grande Lune (pour avoir différentes marées) – voici la probabilité sur l’ensemble du cosmos : la fraction de planètes ayant une grande Lune, 0,05.  

Alors, une fois toute ces improbabilités ajoutées les unes aux autres, que nous reste-il de cette bonne vieille théorie ? Rien de bien probant, que de la spéculation.

D’après toutes ces estimations, il en ressort que la probabilité qu’il existe un système stellaire capable d’accueillir une forme de vie complexe et intelligente serait d’à peu près 1/1.000.000.000.000.000.000 !

Il est temps d’ouvrir les yeux et d’accepter l’évidence – nous sommes les Créatures d’une Intelligence supérieure, que l’on nomme : D.ieu !