En quoi est-il tellement dommage de s'abstenir de manger un aliment parce que la bénédiction à dire après sa consommation nous prendrait trop de temps ? Pourquoi certaines personnes ont tendance à voir la Halakha comme désagréable ? En quoi est-elle, au contraire, libératrice ? Doit-on dire la bénédiction suivant la consommation d'un aliment même si on n'en a mangé qu'un peu en beaucoup de temps ? Qu'en est-il des boissons ? Y a-t-il une limite de temps pour dire les bénédictions qui suivent la consommation d'un aliment ? Si on a dit Haadama au lieu de Ha'ets (ou inversement), doit-on recommencer ? Qur faire lorsqu'on n'est pas sûr d'avoir le droit de dire une bénédiction, lorsqu'on ne sait pas quelle bénédiction dire ou lorsqu'on en a dit une par erreur ? Réponse à travers des propos de Rav Cohen Arazi, Rav Klapich et Rav Baroukh.

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