Logo Torah-Box

Téhilim à lire au cimetière

Rédigé le Dimanche 10 Avril 2016
La question de Patricia S.

Chalom,

Quels Téhilim doit-on lire au cimetière lors de l'année de décès d'un de ses parents et les années suivantes ?

Est-ce que ce sont les mêmes pour les autres personnes ?

Merci de me dire quels sont les numéros et ce que l'on doit faire.

Kol Touv.

La réponse de Rav Avraham GARCIA
Rav Avraham GARCIA
7855 réponses

Chalom Ouvrakha,

Avant de commencer les supplications sur la tombe d'un proche, certains ont la coutume de donner de la Tsédaka pour l'élévation de l'âme du défunt en question.

Arrivées près de la tombe, les personnes qui font la visite posent leur main gauche sur la tombe et disent "Vénatane Hachem Tamid... Kégane Réva..." "Constamment D.ieu te conduira, Il prodiguera à ton âme des jouissances pures" (Isaïe 58, 11).

Certaines personnes lisent les Psaumes 33, 16, 72, 91, 104 et 130, au septième et au trentième jour du décès de l'un des parents, ainsi qu'au jour de l'anniversaire de décès.

On lira aussi les lettres du prénom du défunt qui figurent dans le paragraphe 119 des Téhilim. Les Séfaradim disent les lettres du nom du défunt ainsi que le nom de sa mère ("untel ben/bat unetelle).

Ainsi, on dira les lettres de "Néchama" prises du même Psaume.

D'autres ont l'habitude de lire les lettres du nom du défunt qui figurent dans les Michnayot.

Ainsi, il est bien de lire les Michnayot du traité Kélim, chapitre 24, et Mikvaot, chapitre 7.

La Hachkava et le Kaddich sont ensuite récités en présence de dix personnes.

Kol Touv.

Rabbi Yaakov Edelstein - une conduite exemplaire

Rabbi Yaakov Edelstein - une conduite exemplaire

Biographie journalistique du Rav Yaakov Edelstein : “Une échelle dont les pieds étaient à terre et la tête atteignait les cieux”

acheter ce livre

Avez-vous aimé ?
Soyez le premier à commenter cette réponse Rav Avraham GARCIA