On ne doit écrire les actes de fiançailles et de mariage qu’avec le consentement des deux et le fiancé paie le salaire. On ne doit écrire des actes de bail et de fermage qu’avec le consentement des deux et le preneur paie le salaire. On ne doit écrire des actes d’arbitrage et tout autre acte juridique qu’avec le consentement des deux et les deux intéressés paient le salaire. Rabban Chimon ben Gamliel dit : « on écrit deux [actes] pour les deux, un [acte] pour l’un, et un [acte] pour l’autre.