Si l’acte de reconnaissance de dette de l’individu s’est effacé, il doit prendre des témoins, aller au tribunal où on lui délivre un acte de confirmation : « l’acte de reconnaissance de dette d’un tel, fils d’un tel, à tel jour, s’est effacé ses témoins son tel et tel ». Si un individu a payé une partie de sa dette, Rabbi Yehouda dit : « il doit renouveler [l’acte de prêt]. Rabbi Yossé dit : « il doit écrire une quittance ». Alors Rabbi Yehouda objecte : « il sera toujours dans l’obligation de préserver sa
quittance des souris ». Et Rabbi Yossé lui rétorque : « cela est bien ainsi pour lui, il ne faut pas diminuer le droit de l’autre ».