Celui qui voit une trouvaille et tombe dessus, puis qu’un autre vient et s’en saisit, c’est [ce dernier] qui l’a saisie, qu’il l’a acquise.
Celui qui voit [deux personnes] en train de courir [dans son champ] après une trouvaille inerte, après un cerf qui boite ou après des oisillons qui ne peuvent vole, puis qui dirait : « Que mon champ me les fasse acquérir » ; ce dernier les lui aura fait acquérir.
[Par contre, s’il s’agit] d’un cerf qui peut courir normalement, ou d’oisillons qui peuvent voler, puis qu’il aurait dit : « Que mon champ me les fasse acquérir », ce qu’il a dit ne vaut rien !