De même que la notion de préjudice (lié à un abus excessif) s’applique aux transactions commerciales, la notion de préjudice s’applique aussi aux paroles. [Ainsi], un homme ne demandera pas [à un vendeur] : « Combien coûte cette chose-là ? » alors qu’il ne veut pas l’acheter.
[Par ailleurs], face à une personne qui a fait Techouva, on ne devra pas dire : « Rappelle-toi de tes actes passés ! » [De même], face à un descendant de convertis, il ne devra pas dire : « Rappelle-toi des actes de tes ancêtres ! », comme il est dit (Chémot 22,20) : « Tu n’offenseras pas un converti et tu ne le démuniras pas… »