On ne doit pas déposer [de la marchandise] chez un commerçant pour en partager les bénéfices à parts égales, de même qu’on ne doit pas lui donner de l’argent pour qu’il achète des fruits qu’il achète des fruits sur lesquels seront partagés les bénéfices à parts égales, si ce n’est à condition qu’il (l’investisseur) lui donne un salaire en tant qu’employé.
On ne doit pas [donner ses œufs (à un fermier), pour les] faire couver par des poules, et ce, afin de partager, à parts égales, [le bénéfice de la vente future des poussins], de même qu’on ne doit pas faire évaluer ses veaux et ses poulains [au moment de les donner à un éleveur, et ce], afin de partager, à parts égales, [le bénéfice de leur vente], si ce n’est à condition qu’il (le propriétaire)
rémunère [le fermier ou l’éleveur] pour sa peine, et participe à la pension [des animaux].
Par contre, on peut prendre des veaux ou des poulains (sans les faire évaluer au préalable) afin de partager, à parts égales, [le bénéfice de leur vente future] ; il (l’éleveur) les élèvera jusqu’à ce qu’ils arrivent « au tiers ». Concernant un âne, [l’éleveur devra s’en occuper] jusqu’à ce qu’il soit en mesure d’être chargé.