Celui qui a vendu un champ, et tandis que [l’acheteur] lui a donné une partie du paiement, et qu’il (le vendeur) lui rétorque : « Quand tu voudras, tu pourras m’apporter [le reste de] l’argent [qui manque] et prendre possession de ton [champ] », cela est interdit.
Celui qui a prêté [de l’argent à son prochain] en prenant son champ en garantie, et qui lui a dit : « Si tu ne me rembourses pas d’ici 3 ans, il sera à moi », il sera bien à lui. C’est d’ailleurs ainsi que Baïtoss ben Zonine procédait, avec l’assentiment des Sages.