Tant que la veuve reste dans sa famille, il n’y a pas de prescription pour le douaire (dû) ; si elle reste dans la maison de son mari, il y a prescription au bout de 25 ans ; car, dans ce long espace de temps, elle a dû profiter des héritiers. C’est ce que Rabbi Meïr a dit au nom de Rabban Chim’on ben Gamliel. Les autres Sages disent au contraire : Tant qu’elle est dans la maison de son mari, il n’y a pas de prescription pour le douaire ; mais si elle est dans sa famille, il y a prescription au bout de 25 ans. Si elle est morte, le douaire sera rappelé par les héritiers jusqu’à 25 ans.