Si quelqu’un conteste à autrui la propriété d’un champ, et son nom se trouve signé sur l’acte de vente à titre de témoin, d’après Admon, le demandeur peut prétendre qu’il est content de pouvoir s’adresser au deuxième plutôt qu’au premier, plus dur que lui (dont il a peur). Les autres Sages disent que le demandeur a perdu ses droits à cause de sa signature apposée. Il a aussi perdu ses droits si le champ a été désigné par le voisinage d’une autre propriété.